Dans l’article : L’incidence de la puberté précoce centrale idiopathique en France révèle une hétérogénéité géographique importante
Figure 3 : Taux prédits d’incidence de puberté précoce centrale idiopathique dans les départements français chez les filles
âgées de moins de 9 ans (3a) et les garçons de moins de 10 ans (3b) à la première délivrance d’agonistes de la GnRH, à partir
des données de remboursement 2011-2013