Salmonelloses chez des jeunes enfants et exposition aux reptiles domestiques : investigation en France métropolitaine en 2012

Tableau : Liste des sérotypes de Salmonella enterica sélectionnés pour l’étude

Figure : Sélection des patients pour l’analyse

Cas publiés de salmonelloses chez les jeunes enfants secondaires à une exposition aux reptiles : revue bibliographique 1993-2013

Tableau 1 : Publications rapportant des cas isolés d’infections autres que digestives à Salmonella chez des enfants, en lien avec une exposition à des reptiles, 1993-2013 (n=24)

Tableau 2 : Publications rapportant des épidémies à Salmonella chez des enfants, en lien avec une exposition aux reptiles, 1993-2013 (n=14)

Tableau 3 : Publications rapportant des études cas/témoins sur les infections à Salmonella des enfants en lien avec une exposition aux reptiles, 1993-2013 (n=8)

Tableau 4 : Publications rapportant des études rétrospectives descriptives en population générale de salmonelloses liées à des expositions aux reptiles chez les enfants, 1993-2013 (n=4)

La surveillance des encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles (ESST) en France, données 2009-2010

Figure 1 : Dispositif de surveillance des encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles (ESST) du Réseau national de surveillance des maladies de Creutzfeldt-Jakob et des maladies apparentées (RNS-MCJ)

Tableau 1 : Critères de classement et de diagnostic des différentes formes d’encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles (ESST) établis par l’European CJD Surveillance Network

Figure 2 : Nombre de signalements de cas suspects et nombre de cas certains et probables d’encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles (ESST) par année et par type en France de 1992 à 2010

Tableau 2 : Nombre de cas certains, probables et possibles par diagnostic final d’encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles (ESST) décédés en 2009 et 2010 en France

Figure 3 : Incidence annuelle (par million d'habitants) selon la région de résidence des cas de MCJ sporadiques certains et probables décédés en 2009-2010 en France

Tableau 3 : Répartition des cas d’encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles (ESST) certains, probables et possibles, toutes formes confondues, décédés en 2009-2010 en France, selon le diagnostic final, en fonction de leur polymorphisme au codon 129

Les infections invasives à méningocoques en France en 2012 : principales caractéristiques épidémiologiques

Figure 1 : Taux d’incidence annuels corrigés pour la sous-notification des infections invasives à méningocoques (IIM) liées aux principaux sérogroupes, France métropolitaine, 1996-2012

Figure 2 : Distribution des cas d’infections invasives à méningocoques (IIM) par sérogroupes (pour les principaux sérogroupes) et par groupes d’âge, France entière, 2012

Figure 3 : Taux de notification des infections invasives à méningocoques (IIM), tous sérogroupes, sérogroupe B et sérogroupe C, par département de résidence, France, 2012

Figure 4 : Répartition des cas d’infections invasives à méningocoques (IIM) déclarés selon les principaux complexes clonaux (Multi Locus Sequence Type) et sérogroupes identifiés par le Centre national de référence des méningocoques, France entière, 2012

Figure 5 : Évolution des taux de notification annuels des infections invasives à méningocoques C (IIM C) en fonction des groupes d’âges, France entière, 2005-2012